Harry Potter à l'école des sorciers.
J.K.Rowling.
ça ne fait pas grand bien de s'installer dans les rêves en oubliant de vivre, souviens-toi de ça.
- Il m'a mordu ! s'écria-t-il en leur montrant enveloppée d'un mouchoir ensanglanté. Je vais être incapable de tenir une plume pendant au moins une semaine. Ce dragon est la créature la plus effroyable que j'aie jamais rencontrée mais Hagrid en parle comme si c'était un gentil petit lapin. Quand il m'a mordu, il a dit que c'était ma faute, que je lui avais fait peur. Et quand je suis parti, il lui chantait une berceuse.
résumé
Le jour de ses onze ans, Harry Potter, un orphelin élevé par un oncle et une tante qui le détestent, voit son existence bouleversée. Un géant vient de le chercher pour l'emmener à Poudlard, une école de sorcellerie ! Voler en balai, jeter des sorts, combattre les trolls : Harry Potter se révèle un sorcier doué. Mais un mystère entoure sa naissance et l'effroyable V..., le mage dont personne n'ose prononcer le nom.
résumé
Quoi dire sur les débuts d'une saga culte ?
Je n'ai pas grand chose à dire, cette série est bien entendu ma préféré, comme beaucoup d'amoureux de lecture !
Ceci était une relecture, bien entendu ! Mais, une très bonne relecture !
Je ne vais pas faire un texte très long mais les rares personnes qui n'ont pas lu ce bouquin LE DOIVENT !
La magie qui entoure la façon d'écrire de Rowling est presque palpable. Harry est plus attachant que tout.
Et sachant la fin, je n'ai pas pu m'empêcher d'avoir des pincements horribles au coeur pendant les passages avec Fred et Georges, surtout le premier à King's Cross. C'était horrible... Quoi qu'il en soit j'ai encore eu le bonheur de rire à leurs blagues et au moments ou Harry et Ron enferment le troll des montagnes dans les toilettes avec Hermione. C'est un des rares moments qui me manque vraiment dans l'adaptation ciné. Sinon, l'histoire est plus que respecté pour le film, bien entendu et les paroles sont presque toutes les mêmes, ce qui est rare et génial !
En somme, une merveille dont personne ne peut se lasser.
- Pourquoi tu n'as pas mis le tien, Ron ? demanda George. Vas-y, mets-le, tu verras, c'est très agréable.
- J'ai horreur du bordeaux, marmonna Ron en le mettant quand même.
- Au moins, il n'y a pas de lettre sur le tien, fit remarquer Geroge. Elle doit penser que tu n'oublies pas ton nom. Mais nous non plus, on n'est pas idiots, on sait très bien qu'on s'appelle Gred et Forge.
